Il Ă©tait une fois..
đ La cigale, obligeant la dictature.
Se trouva fort dépourvue.
Quand les gens dirent âdans ton culâ.
Elle eut beau crier, gueuler.
La populace lui répondit.
ArrĂȘte de chialer, Manu.
Elle alla pleurer, grise mine,
Chez les fourmis, ses voisines,
Accusant le peuple français
De vouloir la bouffer.
Mais les fourmis restĂšrent dignes,
Face Ă cette connasse assassine.
Elles connaissaient son plan-démie
Et répondirent à cette Macronie :
« Que faisiez-vous, hier, dans votre échoppe ?
NâĂ©tiez-vous pas une pâtite salope ?
Ă vouloir gazer, mutiler et tuer.
Toutes personnes un peu sensées ! »
« Nuit et jour et à tout vent,
Jâai dirigĂ© mon gouvernement.
Suivre mon cap sans faille,
Pour que le peuple soit mon cobaye.
LâOrdre Mondial, je le jure, foi dâanimal.
Vos vies sont leur intĂ©rĂȘt principal ! »
«