IL TUE SA FEMME DEVANT 300 PERSONNES , PUIS IL DEMANDE UN MOUCHOIR POUR ESSUYER SES LUNETTES

Aujourd’hui, nous allons explorer l’affaire Zahra Abrahimzadeh, une histoire qui met en lumière la violence domestique, le traumatisme des enfants et l’injustice policière. Ziaolleh Abrahimzadeh est né en Afghanistan dans l’année 1950. Au début des années 1980, il a quitté son pays natal pour travailler en Iran en tant qu’avocat. C’est là qu’il a rencontré Zahra, une belle jeune femme. À l’époque, Ziaolleh approchait la trentaine, tandis que Zahra était dix ans plus jeune que lui. En 1985, ils scellent leur amour par le mariage. Le bonheur s’installe et deux ans plus tard, ils accueillent leur première fille, Atena, suivie de près par leur fils Arman. La vie continue son cours et en 1997, la famille décide de déménager à Adélaïde, en Australie. Cette même année, Zahra donne naissance à leur dernier enfant, une petite fille prénommée Anita. Pour tous ceux qui les entouraient, cette famille semblait vraiment heureuse. Ils passaient beaucoup de temps ensemble, les enfants étaient amicaux et réussissaient bien à l’école. Ziaolleh, quant à lui, était respecté dans la communauté. Il était un bon avocat, avec beaucoup d’expérience en Iran. Il était très apprécié, vu comme un gentleman, un homme travailleur, le pilier de la communauté. La réalité à la maison était bien différente de l’image publique de Ziaolleh. L’homme qui était respecté et admiré par la communauté se transformait en un monstre une fois la porte de la maison fermée.
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