Le fétichisme de travestissement (What Sex Am I? - 1985)

AUX ORIGINES DU PHÉNOMÈNE TRANS Ces quelques extraits sous-titrés du film documentaire intitulé « What Sex Am I? » (« Quel est mon sexe ? »), sorti en 1985, exposent la principale origine du transgenrisme : le fétichisme de travestissement. Les hommes qui aiment se masturber dans des vêtements féminins. Les hommes excités (érotico-sexuellement) par le fait de s’habiller et se comporter de manière féminine (« en femmes »), de manière « féminine », c’est-à-dire selon la féminité conçue par et pour les hommes, la féminité patriarcale. Une origine peu glorieuse, que les promoteurs et autres défenseurs du transgenrisme, de la transidentité, du phénomène trans, s’efforcent d’occulter ou d’édulcorer aujourd’hui. Admettre que le phénomène trans tourne autour d’hommes sexuellement excités par les vêtements féminins, par le fait d’adopter les stéréotypes sexistes de la féminité, c’est moins glorieux que de prétendre qu’il s’agit d’une affaire d’essences mystérieuses (appelées « identités de genre »), qui se retrouveraient parfois par erreur embouteillées dans les « mauvais corps ». On notera au passage que le Virginia Prince (né Arnold Lowman) mentionné dans la vidéo ci-jointe est également célébré par Sébastien Lifshitz dans son dernier film documentaire, « Casa Susanna » (cependant, bien évidemment, Lifshitz omet de mentionner les motivations des travestis qu’il célèbre comme des héros, et même comme des « héroïnes », de même qu’il omet de souligner le sexisme de leur travestissement). Au sujet du film documentaire « Casa Susanna » de Sébastien Lifshitz, il faut lire : Sachant tout ça, il est incroyablement consternant de constater que la quasi-totalité de la gauche et même du mouvement écologiste (Soulèvements de la Terre y compris), adhère au transgenrisme et en fait la promotion. Faire la promotion d’une absurdité sexiste centrée sur un fétichisme sexuel masculin et qui implique désormais des mutilations infantiles et nuit aux droits des femmes, ça n’est ni progressiste, ni féministe, ni émancipateur. Tout l’inverse. Pour mieux comprendre les origines et l’essor du transgenrisme, vous pouvez aussi commander le livre « Né(e)s dans la mauvaise société — Notes pour une critique féministe et socialiste du phénomène trans », qui sort officiellement le 30 juin :
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