François THIOLY - Médecin Psychiatre

Je repense avec consternation à tous ces confrères pétris de certitudes, qui poussaient de hauts cris, hurlant au complotisme lorsque j’alertais sur le danger des injections d’ARNm, dont tout laissait prévoir qu’elle allaient entraîner des conséquences totalement imprévisibles; j’évoquais le risque d’une thérapie génique non maîtrisée, généralisée sans précaution, sans véritable évaluation puisque le mythe d’une pandémie gravissime avait permis aux laboratoires producteurs d’échapper aux contraintes légales pour faire face à une soi-disant urgence absolue et la tout aussi soi-disant absence de traitement efficace. Trois ans plus tard, le résultat est là: les publications venant confirmer les craintes des lanceurs d’alerte se multiplient, et toutes sortes de bizarres affections se multiplient. Déjà l’idée de faire fabriquer par nos cellules la fameuse protéine S, la protéine spike du virus pouvait faire craindre des effets délétères dans la mesure où il était évident que le produit injecté avait toutes les chances de ne pas demeurer sagement au seul point d’injection. Depuis, on a évidemment constaté qu’on retrouvait de la protéine S un peu partout dans l’organisme. D’ailleurs ce n’est pas la spike qu’on injecte, mais le kit génique pour la faire fabriquer par nos propres cellules, comme si le vivant était une simple machine qu’on peut reprogrammer à son aise. Rappelons au passage que cette spike est sans doute l’un des attributs les plus toxiques de ce virus synthétique. Mais la blague ne s’arrête pas là: comme le kit en question (l’ARNm) comporte une modification (remplacement de l’uridine par de la pseudo-urindine afin d’assurer une plus grande stabilité à l’ARNm), il n’est pas toujours bien décodé par l’usine à protéines, le ribosome, chargé de le lire et d’en déduire la recette pour la fabrication de la protéine spike. Le ribosome risque de se tromper, de ne pas déchiffre le message délivré par l’ARNm et donc de fabriquer n’importe quoi à la place de la protéine S. Et personne ne sait ce que peut être ce n’importe quoi. Qui sera évidemment reconnu comme un antigène par le système immunitaire, entraînant des réactions totalement imprévisibles: désordres auto-immuns, cancers et autres joyeusetés. Mais il y a mieux encore: on s’est aperçu que, contrairement aux affirmations de Pfizer (mais c’est pareil pour Moderna), le “vaccin“ est contaminé par une quantité énorme d’ADN non humain. Et l’ADN a une très grande facilité à pénétrer le noyau cellulaire et à venir s’intégrer à l’ADN de la cellule hôte, la transformant ainsi irréversiblement. Et là non plus, personne ne sait ce que cela va produire, ni quand, ni chez qui. Il n’est pas exclu que l’épidémie de turbo-cancers chez des sujets jeunes qui alerte les cancérologues, tout comme l’augmentation de la mortalité toutes causes, soient une des fâcheuses conséquences, parmi tant d’autres, du délire d’apprentis-sorciers dont nous sommes gratifiés grâce à la conjonction d’un scientisme myope et d’une course au profit débridée, immunisée contre toute considération éthique. François THIOLY Médecin Psychiatre Si vous souhaitez aider la chaîne en faisant un don 🙏🏻
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