GUERRE EN UKRAINE : RISQUE DE CHAOS MAXIMAL | OSKAR FREYSINGER | GPTV

Les dernières frappes contre les bombardiers russes stratégiques révèlent une orchestration bien plus vaste que de simples initiatives ukrainiennes. L’implication de services comme le MI6, la nature des cibles et la profondeur géographique des attaques témoignent d’un basculement : nous ne sommes plus dans une guerre hybride, mais dans une confrontation militaire qui ose désormais se montrer. Tout indique une montée en puissance pensée pour affaiblir la dissuasion russe et provoquer une réaction. L’OTAN joue un rôle actif et direct. Sans l’appui technologique et logistique des puissances occidentales, ces frappes n’auraient jamais vu le jour. Le vernis de la non-belligérance se fissure, et l’illusion de neutralité occidentale s’effondre. À chaque opération, l’implication devient plus explicite, plus assumée. À Moscou, Vladimir Poutine tente de conserver un équilibre de plus en plus précaire. Entre volo