Fausse écologie: l’envers du décors vert | Idriss Aberkane reçoit le Raptor Dissident
Dans ce live, on décortique les dérives de l’écologie institutionnalisée et les limites de l’approche “greenwashing“. On part de la célèbre citation de Clémenceau : « La guerre est une affaire trop sérieuse pour être laissée aux militaires », et on applique cette réflexion à l’écologie : peut-on vraiment faire confiance aux écologistes professionnels ?
Nous aborderons plusieurs sujets de fond, souvent ignorés dans le débat public :
La privatisation des ressources naturelles, notamment par des multinationales comme Nestlé, et ses impacts sur les réserves d’eau potable.
L’omniprésence des microplastiques, du cerveau aux tissus testiculaires, jusqu’au lait maternel.
L’hypothèse Gaia et la contamination par le DDT, même dans les régions les plus reculées comme chez les Inuits.
L’activisme radical de Paul Watson, souvent qualifié d’écoterroriste, alors qu’il lutte contre la destruction des rorquals communs.
La pollution des aquifères et l’érosion des sols, aujourd’hui éclipsées par l’obsession autour du carbone.
On s’interrogera aussi sur les éoliennes, symbole de l’écologie moderne mais souvent néfastes pour l’avifaune. Pourquoi personne n’en parle quand elles menacent la biodiversité, comme en Andorre ? (Petit clin d’œil à Valek et Bruno Le Salé.)
L’écologie “pastèque“ — verte à l’extérieur, rouge à l’intérieur — devient la seule idéologie autorisée, prenant en otage nos libertés et centralisant les discours.
Enfin, un détour vers des solutions alternatives : le homesteading et le solarpunk, véritables modèles de liberté et d’autonomie face à l’écologie dogmatique.
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