Ты прости меня, родная! (казачья песня, третья версия) | Текст песни и французский перевод

“Ты прости меня, родная!“ с русским текстом и французским переводом. “Pardonne-moi, ma chérie !“ avec le texte russe et la traduction française. Плейлист с русскими музыками канала | Playlist avec les musiques russes de la chaîne : Remarques sur la traduction en français : - Au début, lorsque le cosaque s’apprête à partir, le fait qu’il parte est sous-entendu. Il est juste dit qu’il se prépare. - Dans le refrain, je ne savais pas exactement comment traduire “Буйну“. Le reste de la phrase indique qu’il s’agit d’y laisser sa peau. J’ai rajouté un “Mais“ dans ma traduction pour que ce soit plus naturel. - “В чистом поле“ aurait dû littéralement être traduit par “Dans le champ vierge“ plutôt que “Sur une terre vierge“, mais je trouvais que ça pouvait faire bizarre. - Je dois avouer que j’ai du mal à m’imaginer ce que la phrase suivante veut dire : “А ветер в кольца да кудри вьёт.“ ; Je l’ai traduit par “Et le vent dans les anneaux tord les boucles.“ Текст песни: Как прошла заря по кругу, Собираться казаку. Он обнял свою подругу – Шашку острую свою. Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Осветил рассвет дорогу. Да в чужую сторону, Бережёт казак тревогу Про любимую страну. Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Не сидеть лихому дома. Удалому как же быть? От Кубани и до Дона, Вольной волюшки попить. Эх раздолье в чистом поле. А ветер в кольца да кудри вьёт. В чистом поле мчатся кони. Сердце радостно поёт. Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Ты прости меня родная Коль себя не сберегу. Где умру я знать не знаю. Буйну голову сложу! Translittération en alphabet latin : Kak prašla zarja pa krugu, Sabiratsa kazaku. On abnjal svaju padrugu - Šašku ostruju svaju. Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Asvětil rassvět darogu. Da f čužuju storanu, Běrežot kazak trevogu Pra ljubimuju stranu. Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Ně sidět lihomu doma. Udalomu kak že byt? At Kubani i da Dona, Volnaj voljuški papit. Eh razdolě f čistam polě. A větěr f kolitsa da kudri vjot. F čistam polě mčatsa koni. Sěrtse radastna pajot. Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Ty prasti minja radnaja Kol sibja ně sběregu. Gdě umru ja znat ně znaju. Bujnu golavu slažu! Traduction en français : Tel l’aube qui s’est levée circulairement, Le cosaque se prépare à partir. Il prend dans ses bras sa petite amie, Son sabre tranchant. Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau ! Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau ! L’aube a éclairé le chemin. Mais dans une contrée étrangère, Un cosaque se fait toujours du soucis Pour son pays bien-aimé. Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau ! Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau ! Il ne faut pas rester brave à la maison. Mais comment donc être aventureux ? Il faut boire de la libre petite volonté, Du Kouban jusqu’au Don. Hé, en liberté sur une terre vierge. Et le vent dans les anneaux tord les boucles. Les chevaux galopent sur la terre vierge. Le coeur chante joyeusement. Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau ! Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau ! Pardonne moi, ma chérie Si je ne fais pas attention à moi. Là où je mourrai, je n’en ai aucune idée. Mais j’y laisserai la peau !
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