L’implacable vérité sur l’escroc garofalo

Je rétablis la réalité de la pitoyable vie de SDF de ce rebut sociétal, mytho-mégalomane égocentrique maladif incapable de s’assumer, soi-disant conseiller juridique de l’association MPAI7 sensée rechercher à rétablir la paix. Si garofalo a bien été inscrit à la faculté de Droit de Nice, il n’est ni avocat, ni juriste professionnel, ni juriste tout court, ni docteur en Droit, ni expert en Droit international. Né le 4 décembre 1960 à Monaco, toujours de nationalité monégasque, l’invective, le mensonge, la bave omniprésents à la bouche, il a été condamné une première fois le 5 octobre 1993 à 2 ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Monaco, pour des émissions de chèques sans provision ou frappés d’opposition, escroqueries (au pluriel), falsification et usage, banqueroute frauduleuse, une seconde fois le 15 décembre 2014 à 6 mois de prison ferme par la cour d’appel correctionnelle de Monaco, pour abus de faiblesse. C’est au cours de cette incarcération de 2014 que, portant le n° d’écrou 9030, il a comparu par 3 fois devant la commission disciplinaire de la prison de Monaco, pour des faits de masturbation devant ses codétenus, vol de cigarettes desdits codétenus la nuit, manquement profondément d’hygiène. En Décembre 2021, garofalo et son clone escroc complice émigré belge chaumont, les 2 idiots utiles comme les ont surnommés les journalistes, ont extorqué plus de euros, à Mme Jeannine S. de Hyères, âgée de plus de 80 ans. Je comprends la décision de la rédaction de France 2, Complément d’enquête, de ne pas diffuser les délires de garofalo. Mme Tatiana PRYIMACHUK et M. Tristan WALECKX ont un rang professionnel, une notoriété à tenir. Ils ne pouvaient risquer de perdre leur crédibilité, en acceptant que garofalo passe à l’antenne.