Gabriel Arnou-Laujeac : Plus loin qu’ailleurs (introduction)
TEXTE, VOIX ET SAMPLING VIDEO : Gabriel Arnou-Laujeac
Extrait de Plus loin qu’ailleurs, Gabriel Arnou-Laujeac, Editions du Cygne.
© Editions du Cygne
MUSIQUE
Bach/Torelli : Andante du Concerto En Si Mineur - BWV 979
Alexandre Tharaud © Harmonia Mundi
CREDITS IMAGES
Beyond - In Varanasi © Joey L.
Koyaanisqatsi © Godfrey Reggio
The Wall © Alan Parker
Hindu Nectar © Indian Diplomacy
Les autres images et photos sont des archives personnelles ou anonymes.
Ce texte introduit le récit de “Plus loin qu’ailleurs“ (éditions du Cygne). “Plus loin qu’ailleurs“ est traduit en anglais, paru aux éditions White Pine Press aux Etats-Unis en mai 2016 (“Beyond Elsewhere’’) et en roumain, paru aux Editions Junimea en 2015 (“Dincolo de Nicaeri“, préfacé par Basarab Nicolescu, membre de l’Académie Roumaine et Prix de l’Académie Française). Trois autres traductions sont en cours (Italien, bengali, persan).
En 2016, Gabriel Arnou-Laujeac est lauréat d’un Hemingway Grant décerné par le Ministère de la Culture, la Mission Culturelle et Universitaire Française aux Etats-Unis et l’Ambassade de France aux Etats-Unis et d’un Poiesis Award For Poetic Excellence, décerné par le jury du Rabindranath Tagore Award, en Inde.
Il a également été publié, parfois sous pseudonyme, dans plusieurs anthologies de littérature et de poésie, des revues littéraires en France, en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, à Hong-Kong, en Inde et dans des magazines de philosophie ou d’information générale.
Quelques échos :
« Plus loin qu’ailleurs, un livre riche de poésie et d’un souffle qui crée une respiration. On suit Gabriel Arnou-Laujeac ici, là-bas, plus loin, mais aussi plus haut. Il nous entraine au-devant avec grâce et puissance. »
—Stéphane Barsacq, éditeur (Albin Michel), journaliste (Le Figaro Magazine) et écrivain.
« Voici donc un recueil de Gabriel Arnou-Laujeac, qui, au delà de sa perfection formelle, m’a plongé dans un abîme de questions. »
—Michel Cazenave, philosophe, écrivain, éditeur, critique littéraire, producteur
« Magnifique Plus loin qu’ailleurs : sur le fil du rasoir d’une voie qui nous serait inaudible à force d’être connue, Gabriel Arnou-Laujeac garde pourtant, comme miraculeusement, le souffle poétique… qui nous garde en ce secret d’innocence. De tout cœur. »
—Fabrice Midal, philosophe, universitaire, peintre, écrivain et éditeur
« Une pure merveille ! Le vertige que procure sa plume est indicible. Un rythme, une musique, des mots qui s’aiment, savamment mis ensemble... On devrait l’étudier dans les lycées, le faire dire par des acteurs sur les ondes radiophoniques. »
—Isabelle Duquesnoy, romancière, biographe, historienne de l’art, Prix ADOS 2012.
« Ce qui surprend tout d’abord chez Gabriel Arnou-Laujeac est l’étrange tonalité transpoétique de son livre, comme une résonance évocatrice de l’interstice entre musique, peinture et mots. La musicalité est celle des psaumes et des cantates. La structure picturale s’approche de celle de William Blake. Et les mots, par une secrète alchimie, s’auto-dépassent. De grande potentialité philosophique, son texte ne peut être rattaché à aucune philosophie. »
—Basarab Nicolescu, physicien, philosophe, membre de l’Académie Roumaine, Prix de l’Académie Française.
« Gabriel Arnou-Laujeac est un de ces “horribles travailleurs” dont a parlé Rimbaud, un de ces poètes dont la quête commence à l’horizon où d’autres se sont effondrés. »
—Alain Santacreu, romancier et essayiste, théoricien de la contrelittérature.
« Une écriture rare. Exigeante, fluide et pure, son lyrisme même, paradoxe d’apparence, dénude les mots pour les porter à l’incandescence. »
—Alain-Jacques Lacot, éditeur et chroniqueur à Recours au Poème et au Magazine Littéraire, chargé de mission au Centre National du Livre (CNL).
« Il y a dans l’univers de ce poète «des psaumes inédits, des cantiques interdits», une façon insolite et sacrée de « mourir à ce monde inversé ». C’est souvent d’une beauté quasi liturgique. »
—Jean-Luc Maxence, écrivain et éditeur (Le Nouvel Athanor).
« Plus loin qu’ailleurs est un livre qui se respire, qui embaume, qui élève l’âme et dont l’inspiration est à la fois, tout en s’en éloignant par sa propre originalité, Plotinienne, Dionysienne (Saint Denys l’Aréopagyte) et Cantienne (Cantique des Cantiques). L’écriture de Gabriel Arnou-Laujeac, unique, me fait songer à Saint John Perse. Cette première page - je l’espère et je le prédis - en annonce d’autres.»
—Monseigneur Michel Laroche, théologien et écrivain, collaborateur de la revue géopolitique Diplomatie.