Odezenne - Matin - Clip Documentaire Officiel

Stream  — Insta  Matin - extrait de l’EP “Pouchkine“  VINYLE, CD et DIGITAL en direct chez nous  ______________________________ Réalisé par Jérôme Clément-Wilz Producteur : Alix Caillet Production : Universeul & Kidam production Production exectutive : Julie Peloso, Kidam Réalisation, image & son : Jérôme Clément-Wilz Monteuse : Ael Dallier Vega, Jérôme Clément-Wilz et Alix Caillet Étalonneur : Vincent Amor Montage et mixage son: Mattia Lucchini Étalonnage : Partizan Le réalisateur remercie tout particulièrement Mathurin et Hannah. Ainsi que Olivier Chabalier, François-Pierre Clavel, Yolande Clément-Wilz, Xavier Coppet, Cosmik Video, La famille Dallier, Maud Deschambres, Mati Diop, Ralph Durel, Constance Fohlen, Matthias Germain, Lauren Janos, Kidam Productions, François Nabos, Nextshot, L’équipe de Partizan, Alexandre Perrier, Les Roches Blanches ______________________________ MATIN dans nos yeux, dans les deux y’a la vie mon ami faute de mieux on verra bien jusqu’à quand des envies… putain ! des ennuis… tes seins ! dans le fond ce n’est rien que la nuit et le pain dans nos mains je ne suis que l’enfant de la mer déchaînée par le vent. les couleurs dans le bleu se démènent dedans c’est le même dessin impatient qui dit mieux? fallait pas commencer à être vieux dans nos jambes, dans les deux on s’habille de la vie comme on peut on éteint les enjeux c’est les quels déjà ? des séquelles de jour. dans nos yeux, dans les deux y’a la vie mon ami faute de mieux on verra bien jusqu’à quand on dirait qu’on défie les heureux dans nos yeux, dans les deux y’a la vie mon ami faute de mieux on verra bien jusqu’à quand on verra bien jusqu’à quand. le compteur pompe le sang, il tourne en continu mon corps est contenant, mon âme est contenue et compte tenu des ans, je me suis bien tenu j’regarde un peu dedans mon voisin détenu. J’veux briser la barrière; pour jouer à l’extérieur imbiber mes artères; pour mieux danser ailleurs laisser vivre comme les feuilles, qui brunissent par l’automne, la lumière qui se recueille, au loin, l’orage qui tonne. si le ciel peut me couvrir, me porter jusqu’au blanc rien ne sert de courir plus rapide est l’instant j’ai pas senti l’évasion en regardant l’océan je suis ma propre frontière, mon propre monument quand le corps s’affaibli, la sagesse, elle s’étend nous finirons grandis, laissons sécher le temps. dans nos yeux, dans les deux y’a la vie mon ami faute de mieux on verra bien jusqu’à quand on verra bien jusqu’à quand. dans nos yeux, dans les deux y’a la vie mon ami faute de mieux on verra bien jusqu’à quand on verra bien jusqu’à quand _ceci n’est pas une fiction #Pouchkine #Odezenne #Matin