UNE HOMME ET UN FEMME

#constitution #france #IVG #lejournaldepersonne Les bonnes femmes l’ont emporté sur le plan des faits, des effets, et elles sont en passe d‘en faire autant sur le plan des idées. Et elles vont finir par rafler tous les trophées… peut-être, je dis bien peut-être, parce qu’il y a de moins en moins d’hommes pour leur résister, de moins en moins d’effrontés pour les affronter. Je m’en vais citer quelques passes d’armes qui font leur fierté : - Depuis qu’elles votent, les bonnes femmes ont la côte. - Le deuxième sexe a pour ainsi dire relégué le premier : cette pensée est une pensée de bonne femme. - Assimiler le sexisme au racisme est une assimilation de bonne femme. - Exiger en tout et partout la parité homme-femme est une exigence de bonne femme pour que la femme ait plus de droits et l’homme plus de devoirs. - Opposer les sexes ou parler de sexe-opposé est une composition de bonne femme pour que les guerriers ne se reposent jamais. - Lutter pour l’émancipation des femmes est une infantilisation de la femme réussie par les bonnes femmes. - La victimisation qui a toujours rendue les hommes coupables et les femmes victimes est une stratégie de bonne femme, pour que l’homme soit en échec quand il n’est pas mat. - Le mariage pour tous est une aspiration de bonne femme pour efféminer ou déviriliser les âmes. - L’écriture inclusive est une littérature de bonne femme, qui voudrait soumettre tous les textes et contextes à sa signature. - Me Too et Balance ton Porc sont des œuvres de bonnes femmes qui déposent plainte avant pour ne pas avoir à se plaindre après de ceux qui sont tentés de les contraindre. - Le voile arraché aux femmes voilées est un ricochet de bonnes femmes qui croient davantage à la volupté qu’à l’intégrité. - L’avortement est une solution ou résolution de bonne femme qui voudrait s’épargner quelque tourment. - La transparence est un vœu de bonne femme pour mettre à nu toute existence et dérober au mystère tout son sens...