DROIT DE REPONSE.

▇ “Une fois de plus, Monsieur Branco se montre violent à mon égard. Cette fois-ci en m’attribuant des intentions fausses et en discréditant la demande en justice que j’ai faite contre lui. Ce qu’il dit de mes intentions est diffamatoire bien-sûr, et cela ne dit rien sur moi, mais révèle en revanche beaucoup sur lui. Quand M. Branco affirme que je suis venue travailler à son cabinet pour lui porter préjudice, soit il ment soit il croit ce qu’il dit et m’accuse sans la moindre preuve. Je suis venue travailler pour lui parce que je l’admirais et j’ai déchanté en comprenant l’homme qu’il est. C’est cela qu’il refuse d’admettre. Quand M. Branco affirme que je n’ai aucune preuve de mes heures supplémentaires, il ment de nouveau cette fois-ci éhontément puisqu’il a accès aux dossiers pénal, prud’homal et celui devant la ComHaDis. Il existe effectivement un volet pénal puisque M. Branco, qui m’a accusée de l’avoir fait chanter pour obtenir de l’argent, a porté plainte contre moi pour chantage, plainte qui était tellement invraisemblable qu’elle a été tout de suite classée sans suite. Dans cette affaire je ne fais que défendre mes intérêts en demandant le paiement de heures supplémentaires. Contrairement à ce qu’il affirme de manière totalement paranoïaque, je suis une personne tout à fait ordinaire qui croyait qu’il était quelqu’un de bien et qui s’est trompée. Ce sera à la justice de trancher dans ces trois dossiers et je me sens pleinement sereine quant à ma version des faits. Je tiens à souligner le fait que M. Branco continue à s’acharner sur moi et que cette obstination est à mon sens la démonstration de sa violence et de son incapacité à entendre les critiques formulées contre lui. Merci à Monsieur Tabibian d’avoir accepté de publier mon droit de réponse, Merci à mes avocates, Maîtres Elise Van Beneden et Chenal Trapes de me soutenir dans cette épreuve et merci à celles et ceux qui, après la publication de l’article dans Libération, m’ont apporté leur soutien.“ Eva Lecomte.
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