Loi contre les violences sexuelles sur mineurs : après l’espoir, la déception

« Monsieur le Président, nous vous demandons d’agir dans l’intérêt supérieur de l’enfant. » Fin janvier, Emmanuel Macron promettait de renforcer la loi sur les violences sexuelles faites aux enfants. Un seuil d’âge de non-consentement avait été établi à 15 ans, 18 ans en cas d’inceste, et adopté une première fois par l’Assemblée nationale. La nouvelle a été acclamée de toutes parts. Un enthousiasme éphémère, hélas ! Sous couvert de respect des libertés individuelles, le Sénat a ajouté des mesures lors de la seconde lecture. Celles-ci sont perçues comme une régression par ceux qui s’inquiètent du sort des futures victimes. Homayra Sellier, présidente de l’ONG Innocence en danger dénonce un flou juridique tenace. Retrouvez toute l’actualité, les reportages, les analyses et les chroniques sur notre site : Suivez-nous sur : Facebook Twitter Instagram Abonnez-vous au podcast
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