La souche blanche de l’Egypte ancienne

L’Egypte était un véritable carrefour racial. Ces gravures témoignent d’une grande diversité, de branches humaines très différentes. Pourtant, pour que naisse une civilisation sur ce sol aride, l’Égypte a dans un premier temps été formée par une souche raciale homogène et très ingénieuse, capable d’entreprendre et de conduire à bonne fin les nombreux travaux nécessaires à la construction des innombrables cités et temples qui s’élevèrent. 🟡 TIPEEE : 🔵 TELEGRAM : 🔴 ODYSEE : @Lemémorieux:6 Verena J. Schuenemann, « Les génomes des momies égyptiennes antiques suggèrent une augmentation de l’ascendance de l’Afrique subsaharienne dans les périodes post-romaines ». Zahi Hawass, analyse mitochondriale de Takabuti, 2010. Centre d’égyptologie biomédicale de l’Université de Manchester, ADN mitochondriale de Takabuti, 2020. Nature, « le premier cas signalé du rare haplotype mitochondrial H4a1 dans l’Égypte ancienne ». Christiane Desroches Noblecourt, « La femme au temps des pharaons » 1986. Gregory Nagy « About three fair-haired Egyptian queens », 2015. Roman Scholz, directeur de l’IGENEA, « L’ADN de Toutankhamon ». EAW. Budge, L’Égypte aux périodes néolithiques et archaïque,1902, p. 49 R. Gayre, Diverses études raciales, 1972, p. 85 B. Adams, Momies égyptiennes, 1988, p. 39 W. Sieglin, Die blonden Haare der indogermanischen Völker des Altertums, 1935, R.B Partridge, Faces of Pharaohs, 1994, p. 91
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