Des souris et des fous

Virus ou pas virus ? Le débat se poursuit pour comprendre l’origine du délire paranoïaque appelé Covid-19. Ma formation (ou ma déformation) m’a amené à étudier ce concept en long en large et en travers sous l’angle des statistiques. La conclusion de 4 ans de travail est assez claire : il n’y a pas la moindre trace d’aucun nouveau pathogène dans les statistiques de malades ou de décès de ces dernières années. Tous les décès en trop sont dus aux mauvais traitements infligés aux plus fragiles par peur du virus. Toutes les dates, tous les nombres, correspondent à cette explication. On pourrait appeler cette démarche “bottom-up” (ascendante) : on part de la statistique finale pour revenir à ses fondements et conclure que rien de ce qui est appelé “Covid-19” n’est scientifique ni même cohérent. Un certain nombre de partisans de la méthode “top-down” (descendante) fustigent également l’absence de certitude, voire même de science, dans la théorie du nouveau virus tueur asymptomatique : le “SARS-COV-2”. D’autres considèrent au contraire que son existence est bien prouvée et ses propriétés connues. Pour appuyer leurs propos, ils citent volontiers des articles scientifiques publiés dans des grandes revues, tout en précisant que ces derniers ne sont pas fiables lorsque les résultats vont dans un sens déplaisant. Au sein d’une discussion à ce sujet, Yves Rasir m’a envoyé une étude publiée dans le prestigieux journal Nature “prouvant” que le “SARS-COV-2” est bien un pathogène. L’étude s’intéresse à la “résistance génétique” d’un grand nombre de souris que les chercheurs auraient “infecté” avec le virus. En lisant cet article et tentant de retrouver les résultats annoncés avec les données fournies en annexe, j’ai été tellement estomaqué par les incohérences à tout point de vue, que j’ai appelé mon ami Eusèbe Rioché à l’aide. J’en étais au point où j’aurai préféré qu’il me montre que je ne savais plus faire une addition. Malheureusement, la réalité est pire qu’attendue, Eusèbe ayant encore chargé la barque de cette prose écrite en globish qui se fait passer pour de la science. Je vais probablement finir par devoir suivre une thérapie tellement le simple fait de voir un type en blouse blanche sur un écran me déclenche désormais un fou rire incontrôlable. L’étude : #Sec22
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