À Marseille, Zemmour rencontre surtout l’hostilité

Il a préféré descendre du train à Aix, craignant la fraîcheur de l’accueil à la gare Saint-Charles. Puis, après un déjeuner privé, s’est rendu entouré de policiers dans le Panier, où l’attendaient surtout une cinquantaine de personnes, aux slogans sans ambiguité. “Zemmour, fasciste, casse-toi“ et “Pétain, reviens, t’as oublié tes chiens“ l’ont suivi, accompagné de jets d’oeufs, lors d’une déambulation d’un quart d’heure dans les petites rues. “Tu te caches dans les ruelles“, lui crie une dame depuis une fenêtre, tandis que les commerces ouverts ferment leur porte sur son passage. La conseillère municipale RN Jeanne Marti lui sert de guide, expliquant que ce fief de la gauche “a été abandonné“. Le polémiste ne traine pas, rejoint sa voiture prudemment garée devant l’Evêché. “Je n’ai vu personne
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