Jean Jacques Lafon Une larme

Une larme, rien de plus mystérieux dans les yeux, qu’une larme Qui se dévoile tout doucement, et nous désarme C’est le cri du coeur qui tire le signal d’alarme C’est l’histoire d’un amour qui se meurt Une larme, c’est le bonheur à contre-coeur qui rend les armes C’est une étoile filante sans âge, une larme C’est une goutte de sang blanc qui vient de l’âme Comme un regret, comme un message Une larme, je n’ai gardé de ton visage qu’une larme De l’océan de notre amour, rien qu’une larme C’est un adieu à contre-jour sur mon visage Une larme, c’est dans mes yeux ton souvenir qui fait du charme Tous mes amis, qu’une poussière, un grain de sable C’est sur mes lèvres le goût amer du temps qui passe Comme un regret, une prière Une larme, je n’ai gardé de ton sourire qu’une larme De l’ocean de tous nos rires, qu’une larme C’est notre amour à contre-jour sur mon visage Une larme, je n’ai gardé de ton visage qu’une larme De l’ocean de tous nos rires, qu’une larme A faire pleurer tous les anges de leurs larmes Une larme, c’est le bonheur à contre-coeur qui rend les armes C’est toi et moi et cet adieu qui nous désarme C’est le cri du coeur qui tire le signal d’alarme L’histoire de notre amour qui se meurt
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