Бродяга ~ Le vagabond

De par les steppes sauvages de Transbaïkalie Où, des montagnes, l’or est extrait, Un vagabond, maudissant le destin, Une besace sur l’épaule, Se trainait. À travers la taïga épaisse, Il avançait Où, seuls des oiselais chantaient, Sa gamelle battant son côté, Des bottes de feutre, ses jambes, blessaient. Par une nuit sombre Il s’est enfuit de prison, En prison, il avait souffert pour la vérité Fuir plus loin il ne le pouvait ; Devant lui, le Baïkal s’étalait.
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