Patronne ; chauffe-moi une bania blanche,
De la lumière blanche, je me suis déshabitué.
Je m’asphyxierai et, à moi le délirant,
Délira la langue, la vapeur me brûlant.
Patronne ; chauffe-moi une bania,
Je m’enfiévrerai, m’enflammerai,
Sur le bord même du banc,
En moi, le doute, j’extirperai.
De chaleur jusqu’à l’inconvenance, je me griserai,
Un seau d’eau froide ; et au loin, tout s’estompera,
Et le tatouage de l’époque du culte de la personnalité,
Sur la poitrine gauche, bleuira.
Chauffe moi une bania b